Faut-il interdire les jeux vidéos ?

Un bébé

On savait dĂ©jĂ  cette infĂąme manie rendait nos jeunes soit dĂ©biles, soit violents, on savait que les jeux vidĂ©os Ă©taient responsables de tragĂ©dies telles que la tuerie de Columbine ou la Seconde Guerre mondiale (ah, on me dit dans l’oreillette que pour la Seconde Guerre mondiale, ça n’a pas Ă©tĂ© scientifiquement dĂ©montrĂ©). VoilĂ  qu’un nouveau fait divers alarmant vient remettre en question la lĂ©gitimitĂ© de ce passe-temps puĂ©ril, et ce sans surprise, en CorĂ©e.

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Un mauvais coup

Vous recherchez un bon coup... ;-)

Je ne sais pas ce qu’il y a de pire dans cette publicitĂ© que je croise tous les matins dans le mĂ©tro parisien : l’affligeante vulgaritĂ©, le jeu de mot minable, ou le smiley Ă  la fin.

Passe-moi le SELL

Affiche anti P2P

Loin de moi l’idĂ©e de critiquer la campagne de rĂ©pression lancĂ©e depuis quelques temps par le Syndicat des Editeurs de Logiciels de Loisirs (des jeux vidĂ©os, oui) visant les pirates sur les rĂ©seaux de P2P. On ne peut au contraire que se fĂ©liciter de leur politique de prĂ©vention qui, au contraire de celles qu’on a vues pour la musique ou le cinĂ©ma, ne se limite pas au placardage d’affiche dans le mĂ©tro. Mais regardons les choses en face, est-ce vraiment efficace ?

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Pourquoi faire simple…

Le 12 est mort, vive le 12 ! SacrifiĂ© sur l’autel de la concurrence libre et non faussĂ©e, la disparition du si petit et si pratique numĂ©ro des renseignements est programmĂ©e pour le printemps 2006. Nous n’aurons maintenant plus un seul numĂ©ro, L’ARCEP (ex-ART, AutoritĂ© de RĂ©gulations des TĂ©lĂ©com) vient de procĂ©der au tirage au sort pour l’attribution des futurs numĂ©ros renseignements aux opĂ©rateurs interessĂ©. De 118000 (Scoot France) Ă  118999 (Belgacom) c’est un millier de numĂ©ros possible parmi lesquels France TĂ©lĂ©com a hĂ©ritĂ©, entre autres, du 118712. Ces nouveaux numĂ©ros seront mis en service le 2 novembre prochain, tandis que le 12 cessera dĂ©finitivement de rĂ©pondre au tĂ©lĂ©phone Ă  partir du 3 avril 2006. Je ne suis pas du genre Ă  me plaindre des dangers du progrĂšs ou de la mondialisation. Mais ça !

Source : Silicon.fr