Juste pour signaler une petite mise à jour du site d’Elisabeth Barillé que j’ai fait l’année dernière, avec un peu de réorganisation (notamment au niveau des défilements page suivante / précédente), un forum relativement simple (parce que je n’avais pas beaucoup de temps et qu’il n’y avait pas besoin de quelque chose de vraiment compliqué) et une nouvelle page pour son dernier livre. Aussi pour signaler que j’ai créé il y a quelques temps et complété hier une page statique Sites web sur laquelle sont listés tous les sites que j’ai créé et ceux sur lesquels je travaille actuellement. Et pour signaler encore la création d’une catégorie Informatique dans laquelle je relaterais l’actualité des différents sites sur lesquels je travaille, mes autres exploits dans ce domaine, et publierait de temps en temps un petit article sur les concepts, logiciels, sites, etc. qui m’interpellement. Tout compte fait, ça fait pas mal de choses à signaler.
Le syndrome du scaphandrier, de Serge Brussolo
Dans un futur qui ne semble pas bien lointain, l’art ne se résume plus qu’à une unique forme qui a supplanté toutes les autres : le rêve. Oubliés les peintres, les compositeurs, les sculpteurs, les photographes ; les musées de demain seront plein de rêves, ou ectoplasmes oniriques, ces petits objets mystérieux et organiques, dont on ne sait même pas s’ils sont vivants ou conscients, mais qui apaisent tout ceux qui se trouvent aux alentours. Mais rares sont les scaphandriers qui, comme David Sarella, ont le Don de plonger dans leurs propres rêves et d’y rester plusieurs jours d’affilés, d’y retrouver leur intérieur perpétuel et lucide, leurs amis plus vrais que nature, et d’en ramener les fameux ectoplasmes. Mais chaque plongée est une expérience éprouvante qui tue à petit feu l’artiste. A moins que ce ne soit la remontée, le retour au monde réel. Et s’il était possible de rester à tout jamais en bas ?
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Fête de la… musique ?
Antigone parviendra-t-elle à ravir le coeur de Zeb ? Pour le savoir, retrouvez les photos des rencontres cahiernoiristes de ces derniers jours à Paris et plus si affinités.
600 millions de sauteurs… et moi, et moi, et moi
Enfin une solution concrète pour lutter contre le réchauffement climatique ! C’est ce que nous propose le site World Jump Day. D’après le professeur Hans Niesward, 600 millions de personnes sautant au même moment pourraient modifier légèrement la course de la Terre dans l’espace, et la placer sur une nouvelle orbite plus éloignée du soleil. Cet illustre inconnu nous invite donc à sauter tous en coeur le 26 juillet 2006 à 12 heures 39 minutes et 13 secondes pour garantir un avenir radieux et frais à nos enfants, à grand renforts de schéma, d’animations et de vidéos sur son site. Un doute, toutefois : et si nous sommes trop, risquons-nous d’éjecter la Terre de son orbite dans l’espace intersidéral ?
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Tiens bon la voile solaire, tiens bon le vent photonique…
Hier, le 21 juin, ce n’était pas uniquement le solstice d’été, pas seulement la fête de la musique, mais aussi le jour qu’avaient choisi les joyeux drilles de la Planetary Society pour tester le système de propulsion interplanétaire du futur : la voile. Cosmos 1 (parce que Cosmos 1999 c’était déjà pris) est le nom du vaisseau d’une quarantaine de kilos équipée de huit voiles solaires qui a été lancée hier soir d’un sous-marin dans la mer baltique.
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Faut-il interdire les jeux vidéos ?
On savait déjà cette infâme manie rendait nos jeunes soit débiles, soit violents, on savait que les jeux vidéos étaient responsables de tragédies telles que la tuerie de Columbine ou la Seconde Guerre mondiale (ah, on me dit dans l’oreillette que pour la Seconde Guerre mondiale, ça n’a pas été scientifiquement démontré). Voilà qu’un nouveau fait divers alarmant vient remettre en question la légitimité de ce passe-temps puéril, et ce sans surprise, en Corée.
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Un mauvais coup
Je ne sais pas ce qu’il y a de pire dans cette publicité que je croise tous les matins dans le métro parisien : l’affligeante vulgarité, le jeu de mot minable, ou le smiley à la fin.
Passe-moi le SELL
Loin de moi l’idée de critiquer la campagne de répression lancée depuis quelques temps par le Syndicat des Editeurs de Logiciels de Loisirs (des jeux vidéos, oui) visant les pirates sur les réseaux de P2P. On ne peut au contraire que se féliciter de leur politique de prévention qui, au contraire de celles qu’on a vues pour la musique ou le cinéma, ne se limite pas au placardage d’affiche dans le métro. Mais regardons les choses en face, est-ce vraiment efficace ?
Pourquoi faire simple…
Le 12 est mort, vive le 12 ! Sacrifié sur l’autel de la concurrence libre et non faussée, la disparition du si petit et si pratique numéro des renseignements est programmée pour le printemps 2006. Nous n’aurons maintenant plus un seul numéro, L’ARCEP (ex-ART, Autorité de Régulations des Télécom) vient de procéder au tirage au sort pour l’attribution des futurs numéros renseignements aux opérateurs interessé. De 118000 (Scoot France) à 118999 (Belgacom) c’est un millier de numéros possible parmi lesquels France Télécom a hérité, entre autres, du 118712. Ces nouveaux numéros seront mis en service le 2 novembre prochain, tandis que le 12 cessera définitivement de répondre au téléphone à partir du 3 avril 2006. Je ne suis pas du genre à me plaindre des dangers du progrès ou de la mondialisation. Mais ça !
Source : Silicon.fr
Kirinyaga, de Mike Resnick
Le mieux pour parler de cet étrange roman est encore de commencer par paraphraser la postface de l’auteur – qui aurait d’ailleurs beaucoup gagnée à être plutôt une préface. A l’origine, il y a une nouvelle, Kirinyaga, commandée par Orson Scott Card himself. Le papa d’Ender avait en effet dans l’idée de faire publier un recueil de nouvelles de différents auteurs baptisés Eutopia, dont le principe était très simple. Dans un futur proche, un certain nombre de planètes artificielles sont confiées par l’Administration à des communautés désireuses de bâtir leur utopies, à chaque auteur d’imaginer, de décrire, et de faire vivre son propre planetoïde utopique afin qu’il s’integre de manière harmonieuse au recueil.